Des TDS chinoises sur le boulevard de la Villette, à Paris, où elles attendent des clients. Les rares femmes qui acceptent de poser de dos ont souvent un discours similaire : “Il faut montrer qu’on ne fait rien de mal. On n’a pas d’argent, on a des familles à nourrir en Chine. Crois-moi, si on trouvait d’autres moyens de survie on ferait autre chose.”
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